C'est pas du grand art (c'est même plutôt nul), c'est plus un dépotoir (très joli dit comme ça ><) d'un événement qui s'est passé il y a 1h30 et sur lequel j'avais envie d'écrire, et ça m'a fait du bien. Disons que c'est l'essentiel.
Libre à vous de lire.
Tes gestes et tes mimiques m’embrouillent et c’est ton but, ça l’a toujours été, et à mon avis cela ne va pas cesser. Me tromper, me mentir, m’ignorer, me trahir ne sert à rien. Je l’avais découvert depuis longtemps, bientôt 6 ans maintenant. Quelle ironie d’arriver avec ça au nez en bloquant un court instant sans rien dire et sans rire. Comme si tout était ordinaire, en déviant sur un sujet rébarbatif. Tu as cru m’embobiner durant toutes ces années, mais ce que tu ne savais pas, c’est que je savais déjà. Arrête de jouer de moi comme ça, de faire comme si tu ne m’entendais pas, comme si je n’étais pas là. Comment as-tu osé revenir cinq minutes après, l’air de rien, en me disant d’oublier ce que j’ai vu, comme si ce n’étais que comme ta fumée ? Ce n’est pas tout, ce n’est pas la fin de tes mensonges. Ce qui m’a le plus blessée, c’est que par-dessus tu rajoutes un peu de ta duplicité, en me disant que tu voulais réessayer. Le problème est que tu n’a jamais arrêté. Ce qui t’as dérangé toi c’est que je te réponde, car oui, avant ce n’aurait pas été le cas. J’aurais laissé passer et juste dit OK en bonne petite sans me rebeller. Mais grâce à elle et à d'autres choses, j’arrive plus à m’exprimer au bon moment, à m’exprimer tout court. En demandant des explications car tu me suppliais de ne rien dire, je découvre par-dessus tout que personne n’en a eu ouïr. Etant donné que je n’avais pas envie d’en être la cause, non pas que ce soit de ma faute, mais je n’avais pas envie d’une mauvaise ambiance donc j’ai enfermé cette conversation dans une porte close. Tu m’as promis d’arrêter ? Saches que je sais comment vérifier, et je n’y manquerais pas. Tous ces mensonges et ces excuses plus invraisemblables les unes que les autres pour ça. Entre l’excuse de ta collègue, celle où tu vas faire un tour dehors ou bien d’autres encore. Juste pour cacher que tu avais arrêté quand tu m’as conçue mais que dès que ce fût fini tu ne t’ai pas contenue… Tous ces mensonges inutiles, mensonges futiles, mensonges qui coulent comme l’eau sur le Nil.
Sujet: Tout ça pour... ça ? 
Lun 18 Mai - 19:14
