Citations.

Pour mettre des citations de films ou des passages d'un livre. Jpensais que ça pourrait être sympa.
N'oubliez pas de dire d'où vient votre citation.

A vous (:

Si le coeur humain trouve des repos en montant les hauteurs de l'affection, il s'arrête rarement sur la pente rapide des sentiments haineux.

Balzac - Le Père Goriot

Ou

Faire confiance aux hommes, c'est déjà se faire tuer un peu.

Celine - Voyage au bout de la Nuit
[ Y'en a des tonnes de ce genre dans le bouquin...]

«J'ai tout fait. Tout. Tout ce que vous pouvez imaginer, je l'ai fait. Tout ce que vous n'avez jamais osé faire, tout ce dont vous révez, tout ce qui vous faisait envie, mais que vous avez aussitôt oublié en vous disant que vous n'auriez jamais le courage... Je les ai faites hier, pendant que vous dormiez.
Et vous ? Votre tour, c'est quand ? »

JUNK, Melvin Burgess

Morgan_* a écrit:: «J'ai tout fait. Tout. Tout ce que vous pouvez imaginer, je l'ai fait. Tout ce que vous n'avez jamais osé faire, tout ce dont vous révez, tout ce qui vous faisait envie, mais que vous avez aussitôt oublié en vous disant que vous n'auriez jamais le courage... Je les ai faites hier, pendant que vous dormiez.Et vous ? Votre tour, c'est quand ? »

JUNK, Melvin Burgess

Mon Dieeeuuuu ! =O
C'était pas de toiii, çaaa ? oO' x)
Raaah je m'en souviens troooop, c'était ta sign', avant ! =D (bieeen avant que je te connaisse). & t'avais une des photos.. x)
(dire que j'te trouvais bizarre, à cette époque :zz:)

Passionné(e) Messages : 207 Date d'inscription : 05/05/2009 Age : 32

"Dans mes bras ta chair se salit, s'altère mais désormais c'est bien toi, et toi seul, que je serre contre moi."
~~(j'ai un doute sur les 3 derniers mots >.>)~~

Dernier soupir - ISSHIKI Nobuyuki / OKAZAKI Mari (manga)

"Si tu désires m'appartenir, je te rendrais plus heureux que Dieu dans son paradis;
les anges t'envieront. Déchires ce funèbres linceul avec lequel ils prétendent te taire;
je suis la beauté, je suis la jeunesse, je suis la vie, si tu accours, nous serons l'amour."

Clarimonda - Théophile Gautier

"J'ai confiance en tout le monde, ce dont je me méfie c'est du diable en chaque homme."

Braquage à l'Italienne - Gary Gray (film)

(Eh non Sophie, ce n'était malheureusement pas de moi. Je me rappelle plus de ma photo de l'époque.)

"Toute ma vie est derrière moi. Je la vois toute entière, je vois sa forme et les lents mouvements qui m’ont mené jusqu’ici. Il y a peu de choses à en dire : c’est une partie perdue, voilà tout. Voici trois ans que je suis entré à Bouville, solennellement. J’avais perdu la première manche. J’ai voulu jouer la seconde et j’ai perdu aussi : j’ai perdu la partie. Du même coup, j’ai appris qu’on perd toujours. Il n’y a que les Salauds qui croient gagner."

Sartre - La Nausée.

(T'étais de dos, accroché à un poteau où je ne sais quoi, on aurait dit un singe Laughing

)

J'aime beaucoup cette citation (:

Shana > les deuxième & troisième, j'adore *___*

(O_O aucune idée de quelle photo tu parles quoi)

(Ooooh ><)

Passionné(e) Messages : 207 Date d'inscription : 05/05/2009 Age : 32

« Le verbe aimer est difficile à conjuguer : son passé n’est pas simple, son présent n’est qu’indicatif et son futur est toujours conditionnel », Jean Cocteau

« Ma vie est une énigme dont ton nom est le mot », Victor Hugo

« On en vient à aimer son désir et non plus l’objet de son désir », Nietzsche

« Chaque jour je t’aime davantage, aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain », Rosemonde Gérard

J'adore Paulo Coelho, cette citation est superbe I love you

Et puis, le manque est arrivé, dans le moment où je m'y attendais le moins, il est arrivé alors que j'avais presque fini par croire à mon amnésie. C'est terrible, la morsure du manque. Ca frappe sans prévenir, l'attaque est sournoise tout d'abord, on ressent juste une vive douleur qui disparaît presque dans la foulée, c'est bref, fugace, ça nous plie en deux mais on se redresse aussitôt, on considère que l'attaque est passée, on n'est même pas capable de nommer cette effraction, et pourquoi on la nommerait, on n'a pas eu le temps de s'inquiéter, c'est parti si vite, on se sent déjà beaucoup mieux, on se sent même parfaitement bien, tout de même on garde un souvenir désagréable de cette fraction de seconde, on tente de chasser le souvenir, et on y réussit, la vie continue, le monde nous appelle, l'urgence commande. Et puis, ça revient, le jour d'après, l'attaque est plus longue ou plus violente, on ploie les genoux, on a un méchant rictus, on se dit : quelque chose est à l'oeuvre à l'intérieur, on pense à ces transports au cerveau qui annoncent les tumeurs, qui sont le signal enfin visible de cancers généralisés jusque-là insoupçonnables, on éprouve une sale frayeur, un mauvais pressentiment. Et puis, le mal devient lancinant, il s'installe comme un intrus qu'on n'est pas capable de chasser, il est moins mordant et plus profond, on comprend qu'on ne s'en débarassera pas, qu'on est foutu. Oui, un jour le manque est arrivé. Le manque de lui.

Philippe Besson, Un homme accidentel.